Des
femmes qui viennent apprendre la langue française à
l'Asti ont découvert la technique du photogramme.
Elles ont travaillé à partir de leurs matériaux
personnels : dentelles cousues par elles, bijoux, matières
végétales cueillies dans le quartier. Ces éléments
ont permis de recréer, à partir de la technique
du photogramme, la tradition du henné.
A ce travail sur les mains et les pieds un travail d'autoportrait
a été associé.
La mémoire de leurs lieux de vie d'origine a également
été abordée par le dessin. Cet atelier a
permis à chacune de réaliser des compositions noir
et blanc représentant sa vision intime d'elle-même.
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